Mélodie de 1868 sur un poème de Jean Lahor
Pour voix haute et piano (et avec orchestre)
Lent, avec un sentiment tendre et intime à 12/8
Voix haute : Mi bémol Majeur (Fa3-La4) Do#3 facultatif
Voix moyenne : Do Majeur (Ré3-Fa4) Sib2 facultatif
Il existe une version pour voix grave (Editions International Music Comp)
Partition pour voix haute et voix moyenne
+ version voix haute et orchestre
Editions de la mélodie
Accompagnements
Dans ton cœur dort un clair de lune,
Un doux clair de lune d’été,
Et pour fuir la vie importune,
Je me noierai dans ta clarté.
J’oublierai les douleurs passées,
Mon amour, quand tu berceras
Mon triste cœur et mes pensées
Dans le calme aimant de tes bras.
Tu prendras ma tête malade,
Oh! Quelquefois, sur tes genoux,
Et lui diras une ballade
Qui semblera parler de nous;
Et dans tes yeux pleins de tristesse,
Dans tes yeux alors je boirai
Tant de baisers et de tendresses
Que peut-être je guérirai.
Elsa Dreisig (soprano) Jonathan Ware (piano) |
Version avec orchestre Kiri Te Kanawa (soprano) Sir John Pritchard (direction) |
Mélodie de 1872 – Editions Durand
Pour voix moyenne (ou voix grave) et piano
Andante espressivo à 4/4 – Do# Majeur (Do#3-Do#4)
Partition
Michèle Losier (mezzo-soprano) – Olivier Godin (piano)
Germain Letel (pas de date)
Pour soprano dramatique
Andante cantabile à 4/4 – La Majeur (Si2-Sol4)
Partition (Gallica)
Albert Lebail (1892-1937)
Mélodie de 1917 pour soprano et piano
Lento d’une voix infiniment tendre et douce à 12/8
Mib majeur (Mib3-Lab4)
Partition (Gallica)
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