Mélodies Françaises à Thèmes

Catalogue de mélodies françaises par thèmes. Aide au programme de concerts.

Poèmes de A à J

Poèmes et Textes

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Poèmes de L à Z



A
À la jeune et vive l’alouette (Vaucorbeil)
À la pêche à la baleine (Kosma)
À Paris, tout près de Montrouge (Lacome)
À pas léger le jour a fui (Massenet)
À peau de prune et chair de pêche (Migot)
À quoi bon entendre les oiseaux des bois* Hugo
À quoi songe la dentellière (Fourdrain)
À Séville, belle Señoras (Massenet)
À tout jamais nos deux cœurs vont s’unir (Esclavy)
À travers la forêt de folles arabesques (Bruneau)
Abeille si jolie (Bret)
Abi Abirounère Qui que tu n’étais don ? (Satie)
Agite, bon cheval, ta crinière fuyante (Duparc)
Ah ! je marchais au milieu des fleurs (Saint-Saëns)
Ah ! Le Soleil pâlissant colore (Esclavy)
Ah ! Petit démon (Chabrier)
Ah ! Que la plaine est embaumée ! (Godard)
Ah ! Que nous t’estimons heureuse (Emmanuel)
Ah ! Quel dommage ! La lune fond (Chevereau)
Ah, fuyez à présent, malheureuses pensées (Gaubert)
Ah! chantez, chantez (Chaminade)
Ah! Savez-vous comment le marabout (Rosenthal)
Ah! Savez-vous pourquoi, ma tante (Rosenthal)
Ainsi qu’une jeune beauté (Saint-Saëns)
Allons ! houp ! houp ! polichinelle (di Vito-Delvaux)
Allons ! ma poupée, il est l’heure (Planel)
Allons, rentrez ! Voici l’orage ! (Meyerbeer)
Allons, tous les deux (Rhené-Baton)
Am stram gram bour et ratatam (Schmitt)
Amants, heureux amants (Glandaz-Gounod)
Ane ou vache coq ou cheval (Poulenc)
André ne connaît pas la dame (Poulenc)
Apprendre n’est pas un pensum (Auric)
Après le beau temps (Coulomb)
Araignée du matin qui court (Arrieu)
Araignée grise (Absil)
Asie, Asie, Asie ! (Ravel)
Au bois de Boulogne, l’Hiver (Koechlin)
Au bord d’un torrent (Saint-Saens)
Auprès de moi Colette (Berlioz)
Au bord du clair ruisseau croît la fleur solitaire (Fauré)
Au ciel, en d’immenses vergers (Milhaud)
Au fond des bois (Absil)
Au fond du parc, dans une ombre indécise (Bruneau)
Au jardin de mon coeur (Leroux)
Au Luxembourg souvent (Bruneau)
Au matin se sont rassemblés (Pierné)
Au milieu du jardin la fleur (Bréville)
Au milieu du jardin la fleur (Respighi)
Au pays de Papouasie (Satie)
Au pays du Momotomba (Favre)
Au point du jour par ta rosée (Massé)
Au premier sourire (Franck)
Au printemps l’oiseau naît et chante* Nerval
Au sein du désert enflammé (Fourdrain)
Au soleil couchant (Bizet-Puget)
Au village, en juillet. Un soleil accablant (Rostand)
Auprès d’un torrent (Berlioz)
Automne au ciel brumeux (Fauré)
Autour du vieux chêne qui penche (Gounod)
Autrefois la jeune Annette (Godard)
Autrefois le rat des villes* La Fontaine
Aux feux dorés de l’astre qui s’incline (Saint-Saëns)
Aux rayons du couchant (Bréville)
Aux rayons du couchant (Hahn)
Aux vitraux diaprés des sombres basiliques (Paladilhe)
Avant que le froid glacé les ruisseaux (Hüe)
Avec l’abeille je butine (Chausson)
Avec ses caprices, la Lune (Koechlin)
Avec ses quatre dromadaire (Poulenc)
Avril est de retour (Fauré-Mutel)
Avril sourit, déjà plus douces (Bréville)
Avril sourit, déjà plus douces (Gaubert)
Avril, l’honneur des bois (Godard)
B
Ba, be, bi, bo, bu, bé (Poulenc)
Bateau debout bateau hagard (Auric)
Beau papillon près du sol (Milhaud)
Bel aubépin, verdissant* Ronsard
Belle lune d’argent (Gaubert)
Belle lune d’argent (Hahn)
Belle, vivant tes jours filés par ton destin (Bréville)
Belles frileuses qui sont nées (Massenet)
Berceaux, frêles berceaux (Paladilhe)
Bientôt l’île bleue et joyeuse (Chausson)
Bientôt nous plongeons dans les froides ténèbres*Baudelaire
Bonjour, bonjour les fauvettes (Hüe)
Bourdonne légère abeille (Godard)
C
C’est au temps de la chrysanthème* Silvestre
C’est l’Eté, l’oiseau dans le liere (Esclavy)
C’est l’heure des teintes exquises (Rostand)
C’est l’heure exquise et matinale * Coppée
C’est l’heure exquise et matinale Coppée (Rostand)
C’est l’heure où le jour traîne et se meurt (Rostand)
C’est l’heure où, las d’errer (Ravel)
C’est l’histoire d’une poire (Honegger)
C’est la bossue de ma cour (Ravel)
C’est là que cent longues allées (Leguerney)
C’est le vilain monsieur de la maison voisine (Rosenthal)
C’est si gentil d’aller ensemble (Missa)
C’est un autre. Un marin rugueux l’avait porté (Durey)
C’est un mystère que la Nuit (Saint-Saëns)
C’est un petit canard (Chailley-Schmitt)
C’est un portrait de jeune fille (Bizet)
C’est un vieil orgu’ de barbarie (Rosenthal)
C’était cette sphère (Favre)
C’était une souris qui venait d’Angleterre (Rosenthal)
C’était, dans la nuit brune* Musset
Ça n’a pas mordu, ce soir (Ravel)
Calme des nuits, fraîcheur des soirs (Saint-Saëns)
Capitaine Renard allait de compagnie (Lacombe)
Ces cailloux, tu les nivelles (Milhaud)
Carillonez ! Dig, ding, don ! (Fourdrain)
Carnaval ! Joyeux Carnaval ! (Fourdrain)
Ce n’est pas ta beauté qui m’attire (Massenet)
Ce n’est plus le rêveur lunaire du vieil air (Coulomb)
Ce ne sont pas des flocons de neige blanche (Fourdrain) Ce soir de vieilles images (Schmitt)
Ce sont des feuilles mortes (Milhaud)
Ceci est la chanson que Chil chanta (Delage)
Certain jour au fond des eaux (Bruneau)
Certain jour chez Passoir un loup cossument mis (Bruneau)
Certain poisson volant (Vellones)
Certain rat, dans une (Berlioz)
Certain renard gascon* La Fontaine
Cette Harpe chérie, à te chanter fidèle (Berlioz)
Ceux qui vont pêcher en lointaine Islande (Fourdrain)
Chacun son tour, les animaux (Milhaud)
Chante, petite Cigale (Paladilhe)
Chantez tout à votre loisir (Massenet)
Chantons, voici le temps des roses! (Gounod)
Charmée… Oh ! Pauvre fille ! (Sauguet)
Chat, chat, chat (Absil)
Cher petit ruisseau (Godard)
Chères fleurs, ne vous fiez point (Massenet)
Cheval seul, cheval perdu (Sauguet)
Chien chaud, Tout entier dans la voix (Sauguet)
Chil, vautour conduit les pas de la nuit (Koechlin)
Clac ! Quand on tourne la manivelle (Absil)
Cocorico, le coq chante (Massenet)
Comme chacun sait l’hirondelle (Auric)
Comme des perles précieuses (Esclavy)
Comme elle avait dormi cent ans (Fourdrain)
Comme elle avait dormi cent ans (Lacome)
Comme on voit sur la branche (Leroux)
Comme tout meurt vite, la rose (Fauré)
Comme un oiseau nonchalant (Cieutat)
Comme un rideau sous la blancheur (Massenet)
Comme un vol clair de papillons (Hüe)
Comment, disaient-ils, avec nos nacelles (Bizet)
Compagne de l’ether, indolente fumée (Hahn)
Connaissez-vous la blanche tombe* Gautier
Connaissez-vous la blanche tombe Gautier (Paladhile)
Connaissez-vous la fleur des champs (Godard)
Connaissez-vous la fleur légère (A.Messager)
Connaissiez-vous mon hirondelle ? (Pierné)
Coulez, coulez gouttes fines (Viardot)
Coupez le myrte blanc aux bocages (Bréville)
Couple amoureux aux accents méconnus (Poulenc)
D
D’un gradin d’or (di Vito-Delvaux)
Damoiselle Belette, au corps long (Aboulker-Bruneau)
Dans l’air s’en vont les ailes (Hahn)
Dans l’air s’en vont les ailes (Koechlin)
Dans l’aube, pendue au cytise (Chevereau)
Dans l’interminable (Rostand)
Dans la forêt chauve et rouillée (Chausson)
Dans la forêt que crée un rêve (Saint-Saëns)
Dans la lumière éclatante d’automne (Milhaud)
Dans la nuit de l’hiver (Kosma)
Dans le bassin transparent (Favre)
Dans le cèdre, des colombes (Aubert)
Dans le ciel est dressé le chêne séculaire (Hahn)
Dans le creux d’un vallon une fleur délaissée (Godard)
Dans le jardin de ma grand’mère (Gounod)
Dans le jardin multicolore (Hüe)
Dans le jeune et frais cimetière (Gaubert)
Dans le petit cimetière autour de l’église (Pierné)
Dans le sentier, parmi les roses (Massenet)
Dans le tréfonds des cieux pâlis (Rostand)
Dans le vent et dans le flot (Honegger)
Dans le verger du joli guet (Favre)
Dans ma cervelle se promène (Sauguet)
Dans ton cœur dort un clair de lune*
Dans un chemin montant, sablonneux (Godard)
Dans un sommeil que charmait (Fauré-Jongen)
Dans un vieux square où l’océan (Satie)
Dans une ménagerie (Manziarly)
Dans Venise la rouge (Gounod)
Dans vos viviers, dans vos étangs (Poulenc)
Danse avec nous dans le bel Océan (Honegger)
Dauphins, vous jouez dans la mer (Poulenc)
De ce tardif avril (Bréville)
De jour merci de nuit prends garde (Poulenc)
De sa fourrure blonde et brune (Sauguet)
Demain, dès l’aube, à l’heure où (Godard)
Demande à l’oiseau qui s’éveille (Saint-Saëns)
Depuis que j’ai vu la plus belle (Godard)
Des bons vieux airs très connus (Massenet)
Des cimes brouillées Sortent de la brume (Chevereau)
Des jardins de la nuit s’envolent les étoiles (Fauré)
Des milliers et des milliers d’années (Kosma)
Des oiseaux par milliers volent vers les feux (Kosma)
Des pêchers roses, tous en chœur (Rostand)
Des plus vives couleurs de sa palette (Fourdrain)
Dès que la nuit monte au ciel (Dupré)
Deux ancolies se balançaient sur la colline (L.Boulanger)
Deux cents cinquante grammes de raisins (Bernstein)
Deux escargots s’en vont* Prévert
Deux et deux quatre (Kosma)
Deux heures après diner (Honegger)
Dimanche le ciel est beau (Migot)
Dis maman, Pourquoi n’a t’il pas (Absil)
Dis-moi le secret (Bret)
Dis-moi, Daphénéo (Satie)
Dis-moi, gentille abeille (Widor)
Dites, la jeune belle ! (Bruneau)
Donc il s’agit en cette fable (Schmitt)
Donc vous allez fleurir encor (Bréville)
Dors au fond de l’allée (Barber)
Donc vous allez fleurir encor (Hahn)
Dors entre mes bras (Wagner)
Dors, mon baby, la nuit est derrière nous (Koechlin)
Dors, mon baby, la nuit est derrière nous (Delage)
Dors, mon petit enfant (Paladilhe)
Doux ver luisant (Coulomb)
Doux virtuose au coeur tendre (Viardot)
Du palais d’un jeune Lapin (Bonneau)
Du soleil sur le dos, du soleil sur le ventre (Sauguet)
E
Eau printanière, pluie harmonieuse (Bréville)
Eau printanière, pluie harmonieuse (Hahn)
Eau qui se presse, qui court (Durey)
Écoute, mon cœur (Caplet)
Elle dormait depuis cent ans (Milhaud)
Elle me dit : Quelque chose Me tourmente* Hugo
Elles ont une âme Les roses (Buxeuil)
Éloigne, oh! éloigne ces lèvres (Sauguet)
Emporte-moi, mon cerf-volant ! (Absil)
En allant se coucher le soleil (Poulenc)
En ce jour si doux (Rossini)
En cet après-midi si lourd (Bréville)
En hiver, Quand la bûche chante (Le Flem)
En regardant ces belles fleurs* d’Orléans
En rentrant de l’école (Poulenc)
Encor sur le pavé sonne mon pas nocturne (Hahn)
Entoure ce citron de blanc d’œuf informe (Poulenc)
Entre le lièvre et la tortue (Schmitt)
Est-ce vraiment par goût (Absil)
Et le cheval longea ma page (Coulomb)
Et pour mon bon cheval aussi (Fourdrain)
Et vous m’apporterez des fleurs (Mazelier)
Étoile qui descend vers la verte colline (Hahn)
F
Fais dodo, dodo, dodo, dodo (Ibert)
Feuille mobile et tremblante (Saint-Saëns)
Fido, Fido, le chien Fido (Rosenthal)
Fleurs d’ajonc, fleurs d’or (Rhené-Baton)
Fleurs des bois et des prairies (Gounod)
Fleurs jolies Des prairies (Dassier)
Fleurs nostalgiques, dernier chant (Pillois)
Fleurs promises, fleurs tenues dans tes bras (Poulenc)
Forêt profonde… Il fait si sombre (Honegger)
Fuis, mon âme, fuis! (Chausson)
Fuyant un chat, un jeune rat (di Vito-Delvaux)
G
Gai papillon, papillon d’or (Fourdrain)
Gerbes candides et hautaines (Rhené-Baton)
Grand bal dans la forêt ce soir (Auric)
Grand-père, au dernier jour de l’an (Ganne)
Grillon solitaire, Voix qui sors de terre (Bizet)
Guitares et mandolines (Saint-Saëns)
H
Hélas ! ma sœur, bête bête (Sauguet)
Heureux qui meurt ici (Fauré)
Hier vous m’avez offert, ô femme (Flégier)
Hippopotame, hippopotame (Absil)
Honneurs, richesse, longue vie (Chausson)
Hors de la poix rien à faire, (Milhaud)
I
Il a mis le café (Kosma)
Il a neigé des fleurs cette nuit (Hüe)
Il brille, le sauvage Été (Koechlin)
Il disparaît… Où peut-il être ? (Bonis)
Il est mort ayant bien souffert (Chausson)
Il est revenu, le marchand (Hahn)
Il est une bébête (Satie)
Il était un’ fois un Roi et un’ Reine (Fourdrain)
Il était un’ fois un Roi et un’ Reine (Lacome)
Il était une fée (Fauré)
Il était une fillette (Lacome)
Il était une fois un homme (Lacome)
Il était une fois un pauvre bûcheron (Lacome)
Il était une petite pie (Auric)
Il faut, autant qu’on peut, obliger* La Fontaine
Il glisse sur le bassin (Ravel)
Il pleure dans mon coeur* Verlaine
Il pleure dans mon coeur (Fauré)
Il pleure dans mon coeur (Rostand)
Il pleut des pétales de fleurs* Samain
Il pleut gaîment dans la clarté (Chailley)
Il pleut gaîment dans la clarté (Chevereau)
Il pleut, il vente, il grèle (Millet)
Il prit un reste de brouillard (Milhaud)
Il va sûrement se marier aujourd’hui (Ravel)
Il voulut peindre une rivière (Berthomieux-Coulomb)
Il y avait une pomme (Milhaud)
Ils étaient trois petits chats blancs (Pierné)
Ils ont, les chers enfants, nos yeux (Paladilhe)
Ils vont les petits canards (Chabrier)
Incertitude, O mes délices (Poulenc)
Insondable et plein de mystère (Paladilhe)
Irrémédiable vie (Poulenc)
J
J’ai cueilli ce brin de bruyère* Apollinaire
J’ai cueilli cette fleur de thym (Fontenailles)
J’ai dit au ramier : – Pars et va (Delibes)
J’ai embrassé l’aube d’été (di Vito-Delvaux)
J’ai fait ce rêve, ô ma chérie (Lalo)
J’ai laissé de mon sein de neige (Pierné)
J’ai reçu ta lettre d’adieu (Fourdrain)
J’ai rencontré trois escargots (Coulomb)
J’ai trouvé ce bouquet de fleurettes fanées (Marty)
J’ai voulu ce matin te rapporter des roses* Valmore
J’ai vu passer l’hirondelle (Dell’Acqua)
J’aime à voler tout là-haut (Hahn)
J’aime à vous voir en vos cadres ovales (Paladilhe)
J’aime dans les jardins au printemps (Hervé)
J’aime le son du Cor, le soir (Flégier)
J’aime sous la feuillée (Godard)
J’aime tes yeux, j’aime ton front (Fauré)
J’aime tes yeux, j’aime ton front (Messager)
J’allais dans la campagne (Poulenc)
J’avais le plus joli de tous les bengalis (Rosenthal)
J’entends l’innocente musique (Leguerney)
J’étais seul près des flots* Hugo
J’étais triste et pensif (Fauré)
J’irai dans la plaine où le vent se répète (Rostand)
Jamais la terre n’est plus réelle (Hindemith)
Je dirai la Rose aux plis gracieux (Fauré)
Je languis nuit et jour (Fauré)
Je m’étais endormi et je faisais un rêve (Aubert)
Je me souviens de qui je fus (Koechlin)
Je n’entends que le bruit de la rive (Hahn)
Je ne dis que ce qui est doux (di Vito-Delvaux)
Je ne peux plus rien dire (Poulenc)
Je ne suis pas de ceux qui disent (Aboulker)
Je ne veux qu’une seule leçon (Durey)
Je place sous la protection des violettes (Rhené-Baton)
Je pleure à tout jamais mon bonheur (Pierné)
Je prends la plume pour vous donner (Tournier)
Je regarde la vache (Coulomb)
Je sais deux lys, blancs comme neige (di Vito-Delvaux)
Je suis heureux de ce doux gage (David)
Je suis un sylphe, une ombre… (Franck)
Je suis, je suis le cri de joie (Lalo)
Je t’ai vue, reflétée dans la fontaine (Caplet)
Je vais construire sur le sable (Rosenthal)
Je veux que le matin l’ignore (Fauré)
Je voudrais être un fleuve calme (Saint-Saëns)
Je voudrais qu’à ma fenêtre (Auric)
Je voudrais une girafe (Favre)
Jetant leur fantaisie exquise de couleurs (Massenet)
Joyeux et clair, le soleil luit (Massenet)
Jusqu’au soir, depuis le matin (Puget)