Mélodies Françaises à Thèmes

Catalogue de mélodies françaises par thèmes. Aide au programme de concerts.

Poèmes de A à J

Poèmes et Textes

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Poèmes de L à Z



A
À la jeune et vive l’alouette (Vaucorbeil)
À la pêche à la baleine (Kosma)
A mes pas le plus doux chemin (Fauré)
A Palma de Majorque (Parys)
À Paris, tout près de Montrouge (Lacome)
À pas léger le jour a fui (Massenet)
À peau de prune et chair de pêche (Migot)
À quoi bon entendre les oiseaux des bois* Hugo
À quoi songe la dentellière (Fourdrain)
A Saint-Blaise, à la Zuecca, * Musset
À Séville, belle Señoras (Massenet)
À tout jamais nos deux cœurs vont s’unir (Esclavy)
À travers la forêt de folles arabesques (Bruneau)
A vous ces vers de par la grâce consolante (Loeffler)
A vous, troupe légère * Du Bellay
Abeille si jolie (Bret)
Abi Abirounère Qui que tu n’étais don ? (Satie)
Adieu ! adieu ! Bergère chérie (Massenet)
Adieu tristesse (Poulenc)
Adieu, patrie ! (Saint-Saëns+Reber)
Agite, bon cheval, ta crinière fuyante (Duparc)
Agite, bon cheval, ta crinière fuyante (Enescu)
Agite, bon cheval, ta crinière fuyante (Vierne)
Ah! chantez, chantez (Chaminade)
Ah! fuyez à présent, malheureuses pensées (Gaubert)
Ah ! fuyez à présent, malheureuses pensées (Poulenc)
Ah ! je marchais au milieu des fleurs (Saint-Saëns)
Ah ! l’amour ! Le printemps s’est enfui (Vidal)
Ah ! Le Soleil pâlissant colore (Esclavy)
Ah ! mon cher docteur, je vous écris (Poulenc)
Ah ! Petit démon (Chabrier)
Ah ! Que la plaine est embaumée ! (Godard)
Ah ! Que nous t’estimons heureuse (Emmanuel)
Ah ! Quel dommage ! La lune fond (Chevereau)
Ah ! si vraiment l’indifférence (Bizet)
Ah ! Viens, ma petite Mireille (Pierné)
Ah! c’est déjà ma fauvette (Viardot)
Ah! ce soir là vraiment tout était si paisible (Honegger)
Ah! la charmante chose (Poulenc)
Ah! Savez-vous comment le marabout (Rosenthal)
Ah! Savez-vous pourquoi, ma tante (Rosenthal)
Ah ! Si vous saviez comme on pleure* Sully-Prudhomme
Aimons ! Rêvons ! (Bizet)
Ainsi qu’une jeune beauté (Saint-Saëns)
Allons ! houp ! houp ! polichinelle (di Vito-Delvaux)
Allons ! ma poupée, il est l’heure (Planel)
Allons, rentrez ! Voici l’orage ! (Meyerbeer)
Allons, tous les deux (Rhené-Baton)
Am stram gram bour et ratatam (Schmitt)
Amants, heureux amants (Glandaz-Gounod)
Amaryllis rit au pâtre Daphnis (Auric)
Amour à la fermière (Lacombe)
Ane ou vache coq ou cheval (Poulenc)
André ne connaît pas la dame (Poulenc)
Apprendre n’est pas un pensum (Auric)
Après le beau temps (Coulomb)
Araignée du matin qui court (Arrieu)
Araignée grise (Absil)
Arbre charmant qui me rappelle (Massenet)
Asie, Asie, Asie ! (Ravel)
Assez dormir, ma belle ! (Gounod-Monpou)
Au bois de Boulogne, l’Hiver (Koechlin)
Au bord d’un torrent (Saint-Saens)
Auprès de moi Colette (Berlioz)
Au bord du clair ruisseau croît la fleur solitaire (Fauré)
Au ciel, en d’immenses vergers (Milhaud)
Au firmament sans étoile* Th.Gautier
Au firmament teinté de rose et de lilas (Jaëll)
Au fond des bois (Absil)
Au fond du parc, dans une ombre indécise * Th.Gautier
Au fond du parc, dans une ombre indécise (Bruneau)
Au jardin de mon coeur (Leroux)
Au Luxembourg souvent, lorsque dans les allées (Bruneau)
Au matin se sont rassemblés (Pierné)
Au milieu du jardin la fleur (Bréville)
Au milieu du jardin la fleur (Respighi)
Au pays de Papouasie (Satie)
Au pays du Momotomba (Favre)
Au point du jour par ta rosée (Massé)
Au premier sourire (Franck)
Au printemps l’oiseau naît et chante* Nerval
Au sein du désert enflammé (Fourdrain)
Au soleil couchant * Hugo
Au village, en juillet. Un soleil accablant (Rostand)
Auprès d’un torrent (Berlioz)
Automne au ciel brumeux (Fauré)
Autour du vieux chêne qui penche (Gounod)
Autrefois la jeune Annette (Godard)
Autrefois le rat des villes* La Fontaine
Aux feux dorés de l’astre qui s’incline (Saint-Saëns)
Aux longs tourments de l’absence (Viardot)
Aux rayons du couchant (Bréville)
Aux rayons du couchant (Hahn)
Aux vitraux diaprés des sombres basiliques (Paladilhe)
Avant que le froid glacé les ruisseaux (Hüe)
Avec l’abeille je butine (Chausson)
Avec mon face-à-main (Poulenc)
Avec ses caprices, la Lune (Koechlin)
Avec ses quatre dromadaire (Poulenc)
Avec son chant doux et plaintif (Fauré)
Avez-vous vu, dans Barcelone (Bourgault-Ducoudray)
Avril est de retour (Fauré-Mutel)
Avril sourit, déjà plus douces (Bréville)
Avril sourit, déjà plus douces (Gaubert)
Avril, l’honneur des bois (Godard)
Avril, l’honneur et des bois* Belleau
Avril, l’honneur et des fleurs (A.G.Thomas)
Avril, la grâce et le ris (Delibes)
B
Ba, be, bi, bo, bu, bé (Poulenc)
Bateau debout bateau hagard (Auric)
Beau papillon près du sol (Milhaud)
Bel aubépin, verdissant* Ronsard
Belle lune d’argent (Gaubert)
Belle source, je veux me rappeler sans cesse (Poulenc)
Belle lune d’argent (Hahn)
Belle, vivant tes jours filés par ton destin (Bréville)
Belles frileuses qui sont nées (Massenet)
Berceaux, frêles berceaux (Paladilhe)
Bientôt l’île bleue et joyeuse (Chausson)
Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux* Sully-Prudhomme
Bois meurtri bois perdu (Poulenc)
Bientôt nous plongeons dans les froides ténèbres*Baudelaire
Bonjour, bonjour les fauvettes (Hüe)
Bourdonne légère abeille (Godard)
Brise ! en sifflant sur la lande ou la mer (Vidal)
Bulbul enivre toute oreille (Altès)
C
C’est au temps de la chrysanthème* Silvestre
C’est l’Eté, l’oiseau dans le liere (Esclavy)
C’est l’extase langoureuse* Verlaine
C’est l’heure des teintes exquises (Rostand)
C’est l’heure exquise et matinale * Coppée
C’est l’heure exquise et matinale Coppée (Rostand)
C’est l’heure où le jour traîne et se meurt (Rostand)
C’est l’heure où, las d’errer (Ravel)
C’est l’histoire d’une poire (Honegger)
C’est la bossue de ma cour (Ravel)
C’est là que cent longues allées (Leguerney)
C’est le vilain monsieur de la maison voisine (Rosenthal)
C’est si gentil d’aller ensemble (Missa)
C’est un autre. Un marin rugueux l’avait porté (Durey)
C’est un mystère que la Nuit (Saint-Saëns)
C’est un petit canard (Chailley-Schmitt)
C’est un portrait de jeune fille (Bizet)
C’est un vieil orgu’ de barbarie (Rosenthal)
C’était cette sphère (Favre)
C’était en juin, dans le jardin (N.Boulanger-Gaubert)
C’était une souris qui venait d’Angleterre (Rosenthal)
C’était, dans la nuit brune* Musset
Ça n’a pas mordu, ce soir (Ravel)
Cadédis ! lorsque je me fâche (Bizet)
Calme dans le demi-jour* Verlaine
Calme des nuits, fraîcheur des soirs (Saint-Saëns)
Capitaine Renard allait de compagnie (Lacombe)
Ces cailloux, tu les nivelles (Milhaud)
Carillonez ! Dig, ding, don ! (Fourdrain)
Carnaval ! Joyeux Carnaval ! (Fourdrain)
Ce monde meilleur et tout autre (Widor)
Ce n’est pas ta beauté qui m’attire (Massenet)
Ce n’est plus le rêveur lunaire du vieil air (Coulomb)
Ce ne sont pas des flocons de neige blanche (Fourdrain)
Ce soir de vieilles images (Schmitt)
Ce sont des feuilles mortes (Milhaud)
Ceci est la chanson que Chil chanta (Delage)
Certain jour au fond des eaux (Bruneau)
Certain jour chez Passoir un loup cossument mis (Bruneau)
Certain poisson volant (Vellones)
Certain rat, dans une (Berlioz)
Certain renard gascon* La Fontaine
Cette Harpe chérie, à te chanter fidèle (Berlioz)
Ceux qui vont pêcher en lointaine Islande (Fourdrain)
Chacun son tour, les animaux (Milhaud)
Chante, petite Cigale (Paladilhe)
Chantez tout à votre loisir (Massenet)
Chantons, voici le temps des roses! (Gounod)
Chaque pays, faveur native (Lacombe)
Charmée… Oh ! Pauvre fille ! (Sauguet)
Chat, chat, chat (Absil)
Cher petit ruisseau (Godard)
Chère apparence viens aux couchants illuminés (Loeffler)
Chères fleurs, ne vous fiez point (Massenet)
Cheval seul, cheval perdu (Sauguet)
Chien chaud, Tout entier dans la voix (Sauguet)
Chil, vautour conduit les pas de la nuit (Koechlin)
Clac ! Quand on tourne la manivelle (Absil)
Cocorico, le coq chante (Massenet)
Comme chacun sait l’hirondelle (Auric)
Comme des perles précieuses (Esclavy)
Comme elle avait dormi cent ans (Fourdrain)
Comme l’an dernier, si tu veux (Vidal)
Comme elle avait dormi cent ans (Lacome)
Comme les roses du sentier (Widor)
Comme on voit sur la branche (Leroux)
Comme tout meurt vite, la rose (Fauré)
Comme un oiseau nonchalant (Cieutat)
Comme un rideau sous la blancheur (Massenet)
Comme un vol clair de papillons (Hüe)
Comme un vol criard d’oiseaux en émoi (Loeffler)
Comment, disaient-ils * Hugo
Comment, disaient-ils, avec nos nacelles (Bizet)
Compagne de l’ether, indolente fumée (Hahn)
Connais-tu la chanson (Meyerbeer)
Connaissez-vous la blanche tombe* Gautier
Connaissez-vous la blanche tombe (Paladhile)
Connaissez-vous la fleur des champs (Godard)
Connaissez-vous la fleur légère (A.Messager)
Connaissiez-vous mon hirondelle ? (Pierné)
Coulez, coulez gouttes fines (Viardot)
Coupez le myrte blanc aux bocages (Bréville)
Couple amoureux aux accents méconnus (Poulenc)
D
D’autres femmes m’ont pris son regard (Bizet)
D’un gradin d’or (di Vito-Delvaux)
Damoiselle Belette, au corps long (Aboulker-Bruneau)
Dans l’air s’en vont les ailes (Hahn)
Dans l’air s’en vont les ailes (Koechlin)
Dans l’aube, pendue au cytise (Chevereau)
Dans l’ennui si désolément vert (Debussy)
Dans l’interminable (Rostand)
Dans la forêt chauve et rouillée (Chausson)
Dans la forêt que crée un rêve (Saint-Saëns)
Dans la lumière éclatante d’automne (Milhaud)
Dans la lumière et dans le bruit (Widor)
Dans la nuit de l’hiver (Kosma)
Dans la plaine blonde * Coppée
Dans la plaine blonde et sous les allées (Séverac)
Dans le bassin transparent (Favre)
Dans le cèdre, des colombes (Aubert)
Dans le ciel est dressé le chêne séculaire (Hahn)
Dans le creux d’un vallon une fleur délaissée (Godard)
Dans le frais clair-obscur du soir charmant… (Dupré)
Dans le jardin de ma grand’mère (Gounod)
Dans le jardin multicolore (Hüe)
Dans le jeune et frais cimetière (Gaubert)
Dans le petit cimetière autour de l’église (Pierné)
Dans le sentier, parmi les roses (Massenet)
Dans le tréfonds des cieux pâlis (Rostand)
Dans le vent et dans le flot (Honegger)
Dans le verger du joli guet (Favre)
Dans les blés les jeunes fillettes (Pierné)
Dans les grands blés, Si vous voulez (Vidal)
Dans les nuits d’automne, errant par la ville (Georges)
Dans ma cervelle se promène (Sauguet)
Dans ton cœur dort un clair de lune* Lahor
Dans un chemin montant, sablonneux (Godard)
Dans un grand fauteuil l’aïeule est assise (Lacombe)
Dans un sommeil que charmait (Fauré-Jongen)
Dans un vieux square où l’océan (Satie)
Dans une ménagerie (Manziarly)
Dans Venise la rouge (Gounod)
Dans vos viviers, dans vos étangs (Poulenc)
Danse avec nous dans le bel Océan (Honegger)
Dansez, pêcheur Napolitain (Viardot)
Dauphins, vous jouez dans la mer (Poulenc)
De ce tardif avril (Bréville)
De grandes cuillers de neige (Poulenc)
De jour merci de nuit prends garde (Poulenc)
De sa fourrure blonde et brune (Sauguet)
De tristesse amère et profonde (Saint-Saëns)
Décembre est revenu (Vidal)
Demain, dès l’aube, à l’heure où (Godard)
Demande à l’oiseau qui s’éveille (Saint-Saëns)
Depuis que j’ai vu la plus belle (Godard)
Des bons vieux airs très connus (Massenet)
Des cimes brouillées Sortent de la brume (Chevereau)
Des jardins de la nuit s’envolent les étoiles (Fauré)
Des milliers et des milliers d’années (Kosma)
Des oiseaux par milliers volent vers les feux (Kosma)
Des pêchers roses, tous en chœur (Rostand)
Des plus vives couleurs de sa palette (Fourdrain)
Dès que la grive est éveillée (Berlioz)
Dès que la grive est éveillée (Viardot)
Dès que la nuit monte au ciel (Dupré)
Descends, ô nuit sombre (Bizet)
Deux ancolies se balançaient sur la colline (L.Boulanger)
Deux cents cinquante grammes de raisins (Bernstein)
Deux escargots s’en vont* Prévert
J’ai rêvé que mon cœur (Bizet)
Deux et deux quatre (Kosma)
Deux heures après diner (Honegger)
Dimanche le ciel est beau (Migot)
Dimanche sur les villes (Debussy)
Dis maman, Pourquoi n’a t’il pas (Absil)
Dis-moi le secret (Bret)
Dis-moi, Daphénéo (Satie)
Dis-moi, gentille abeille (Widor)
Dîtes, la jeune belle * Gautier
Dites, la jeune belle ! (Bruneau)
Dites, la jeune belle (Offenbach)
Donc il s’agit en cette fable (Schmitt)
Donc vous allez fleurir encor (Bréville)
Donc vous allez fleurir encor (Hahn)
Dors au fond de l’allée (Barber)
Dors entre mes bras (Wagner)
Dors tranquille et repose, cher enfant (Boëllmann)
Dors, mon baby, la nuit est derrière nous (Koechlin)
Dors, mon baby, la nuit est derrière nous (Delage)
Dors, mon petit enfant (Paladilhe)
Doux ver luisant (Coulomb)
Doux virtuose au coeur tendre (Viardot)
Du palais d’un jeune Lapin (Bonneau)
Du soleil sur le dos, du soleil sur le ventre (Sauguet)
E
Eau printanière, pluie harmonieuse (Bréville)
Eau printanière, pluie harmonieuse (Hahn)
Eau qui se presse, qui court (Durey)
Ecoute ! L’alouette chante (Vidal)
Écoute, mon cœur (Caplet)
Écoutez la chanson (Delibes)
Ecoutez la chanson bien douce * Verlaine
Elle dormait depuis cent ans (Milhaud)
Elle était jeune et jolie (Bizet)
Elle me dit : Quelque chose Me tourmente * Hugo
Elles ont une âme Les roses (Buxeuil)
Éloigne, oh! éloigne ces lèvres (Sauguet)
Emporte-moi, mon cerf-volant ! (Absil)
En allant se coucher le soleil (Poulenc)
En Avril lorsque la branche (Delibes)
En avril, lorsque la branche (Salomon)
En ce jour si doux (Rossini)
En cet après-midi si lourd (Bréville)
En chaperons (Pierné)
En hiver, Quand la bûche chante (Le Flem)
En regardant ces belles fleurs* Ch. d’Orléans
En rentrant de l’école (Poulenc)
Encor sur le pavé sonne mon pas nocturne (Hahn)
Encore un soir qui tombe (Widor)
Entoure ce citron de blanc d’œuf informe (Poulenc)
Entre le lièvre et la tortue (Schmitt)
Est-ce assez de dire: je t’aime (Pierné)
Est-ce vraiment par goût (Absil)
Et le cheval longea ma page (Coulomb)
Et pour mon bon cheval aussi (Fourdrain)
Et s’il revenait un jour (Séverac)
Et vous m’apporterez des fleurs (Mazelier)
Étendue au seuil du bassin (Fauré)
Étoile qui descend vers la verte colline (Hahn)
F
Fais dodo, dodo, dodo, dodo (Ibert)
Femme avec laquelle j’ai vécu (Poulenc)
Feuille mobile et tremblante (Saint-Saëns)
Fido, Fido, le chien Fido (Rosenthal)
Fléau des boucliers, habitant des tempêtes (Lacombe)
Fleurs d’ajonc, fleurs d’or (Rhené-Baton)
Fleurs des bois et des prairies (Gounod)
Fleurs jolies Des prairies (Dassier)
Fleurs nostalgiques, dernier chant (Pillois)
Fleurs promises, fleurs tenues dans tes bras (Poulenc)
Fleurs qu’adore (Lacombe)
Forêt profonde… Il fait si sombre (Honegger)
Fuis, mon âme, fuis! (Chausson)
Fuyant un chat, un jeune rat (di Vito-Delvaux)
G
Gai papillon, papillon d’or (Fourdrain)
Gastibelza, l’homme à la carabine * Hugo
Gerbes candides et hautaines (Rhené-Baton)
Glisse, glisse, traineau rapide (Delibes)
Grand air. Urbanité des façons anciennes (Hüe)
Grand bal dans la forêt ce soir (Auric)
Grand-père, au dernier jour de l’an (Ganne)
Grillon solitaire, Voix qui sors de terre (Bizet-Altès)
Guitares et mandolines (Saint-Saëns)
H
Hélas ! les marronniers qui bordent… (Massenet)
Hélas ! ma sœur, bête bête (Sauguet)
Heureux qui meurt ici (Fauré)
Hier vous m’avez offert, ô femme (Flégier)
Hier, sous la verte tonnelle * (Pierné)
Hippopotame, hippopotame (Absil)
Hirondelle ! hirondelle ! (Beydts)
Honneurs, richesse, longue vie (Chausson)
Hors de la poix rien à faire, (Milhaud)
I
Ici les tendres oiseaux (Saint-Saëns)
Ici-bas tous les lilas meurent* Sully-Prudhomme
Il a mis le café (Kosma)
Il a neigé des fleurs cette nuit (Hüe)
Il brille, le sauvage Été (Koechlin)
Il disparaît… Où peut-il être ? (Bonis)
Il dort encore une main sur la lyre (Debussy)
Il est minuit (Massenet)
Il est mort ayant bien souffert (Chausson)
Il est revenu, le marchand (Hahn)
Il est une bébête (Satie)
Il est venu le Joli Mai (Symiane)
Il était un’ fois un Roi et un’ Reine (Fourdrain)
Il était un’ fois un Roi et un’ Reine (Lacome)
Il était une fée (Fauré)
Il était une fillette (Lacome)
Il était une fois un homme (Lacome)
Il était une fois un pauvre bûcheron (Lacome)
Il était une petite pie (Auric)
Il était, une fois, une petite fille (Vidal)
Il faut, autant qu’on peut, obliger* La Fontaine
Il faut nous séparer (Massenet)
Il faut plaindre tous ceux … (Widor)

Il glisse sur le bassin (Ravel)
Il lui disait : « Vois-tu, si tous deux… (Lacombe)
Il neige et vos cheveux blancs (Vidal)
Il pleure dans mon coeur* Verlaine
Il pleure dans mon coeur (Fauré)
Il pleure dans mon coeur (Rostand)
Il pleure dans mon cœur (Smallman)
Il pleut des pétales de fleurs* Samain
Il pleut des voix de femmes (Sacre)
Il pleut gaîment dans la clarté (Chailley)
Il pleut gaîment dans la clarté (Chevereau)
Il pleut, il vente, il grèle (Millet)
Il prit un reste de brouillard (Milhaud)
Il va sûrement se marier aujourd’hui (Ravel)
Il voulut peindre une rivière (Berthomieux-Coulomb)
Il y avait une pomme (Milhaud)
Ils étaient trois petits chats blancs (Pierné)
Ils ont, les chers enfants, nos yeux (Paladilhe)
Ils vont les petits canards (Chabrier)
Incertitude, O mes délices (Poulenc)
Insondable et plein de mystère (Paladilhe)
Irrémédiable vie (Poulenc)
J
J’ai caché dans la rose en pleurs (Hahn)
J’ai cueilli ce brin de bruyère* Apollinaire
J’ai cueilli ce brin de bruyère (Sacre)
J’ai cueilli cette fleur de thym (Fontenailles)
J’ai dit au ramier : – Pars et va (Delibes)
J’ai embrassé l’aube d’été (di Vito-Delvaux)
J’ai fait ce rêve, ô ma chérie (Lalo)
J’ai filé tellement de laine (Pillois)
J’ai laissé de mon sein de neige (Pierné)
J’ai reçu ta lettre d’adieu (Fourdrain)
J’ai rencontré trois escargots (Coulomb)
J’ai rêvé que mon cœur étant… (Bizet)
J’ai revêtu, ce soir (Massenet)
J’ai trouvé ce bouquet de fleurettes fanées (Marty)
J’ai voulu ce matin te rapporter des roses* Valmore
J’ai voulu tout aimer, et je suis malheureux (Vierne)
J’ai vu passer l’hirondelle (Dell’Acqua)
J’aime à voler tout là-haut (Hahn)
J’aime à vous voir en vos cadres ovales (Paladilhe)
J’aime dans les jardins au printemps (Hervé)
J’aime le son du Cor, le soir (Flégier)
J’aime sous la feuillée (Godard)
J’aime tes yeux, j’aime ton front (Fauré)
J’aime tes yeux, j’aime ton front (Messager)
J’allais dans la campagne (Poulenc)
J’avais devant les yeux les ténèbres (Lacombe)
J’avais le plus joli de tous les bengalis (Rosenthal)
J’entends l’innocente musique (Leguerney)
J’étais seul près des flots* Hugo
J’étais triste et pensif (Fauré)
J’irai dans la plaine où le vent se répète (Rostand)
Jamais la terre n’est plus réelle (Hindemith)
Je dirai la Rose aux plis gracieux (Fauré)
Je languis nuit et jour (Fauré)
Je m’étais endormi et je faisais un rêve (Aubert)
Je me souviens de qui je fus (Koechlin)
Je me souviens qu’un soir (Widor)
Je n’entends que le bruit de la rive (Hahn)
Je ne dis que ce qui est doux (di Vito-Delvaux)
Je ne peux plus rien dire (Poulenc)
Je ne suis pas de ceux qui disent (Aboulker)
Je ne t’ai point aimé, cruel ! (Viardot)
Je ne veux qu’une seule leçon (Durey)
Je place sous la protection des violettes (Rhené-Baton)
Je pleure à tout jamais mon bonheur (Pierné)
Je prends la plume pour vous donner (Tournier)
Je regarde la vache (Coulomb)
Je rêve le front lourd et les yeux las (Enescu)
Je sais deux lys, blancs comme neige (di Vito-Delvaux)
Je suis heureux de ce doux gage (David)
Je suis jaloux Psyché… (Massé)
Je t’ai rencontrée en la vie (Pierné)
Je suis un sylphe, une ombre… (Franck)
Je suis, je suis le cri de joie (Lalo)
Je t’ai vue, reflétée dans la fontaine (Caplet)
Je t’aimerai, je chérirai mes chaînes (Massé)
Je vais construire sur le sable (Rosenthal)
Je veux oublier que j’aime* Augier
Je veux que le matin l’ignore (Fauré)
Je vis cette faucheuse (Lacombe)
Je voudrais être un fleuve calme (Saint-Saëns)
Je voudrais qu’à ma fenêtre (Auric)
Je voudrais une girafe (Favre)
Jetant leur fantaisie exquise de couleurs (Massenet)
Joyeux et clair, le soleil luit (Massenet)
Jusqu’au soir, depuis le matin (Puget)