Mélodies Françaises à Thèmes

Catalogue de mélodies françaises par thèmes. Aide au programme de concerts.

Poèmes de L à Z

Poèmes et Textes

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LLaLa M
LeLe R
LesLes R
MNOPQR
SSouTUVZ


Poèmes de A à J


L
L’âme évaporé et souffrante (Debussy-Widor)
L’adjectif qualificatif (Rosenthal)
L’air est plein d’une odeur exquise (Chausson)
L’air était lourd, la nuit voilée (Paladilhe)
L’air s’embrume : les joncs, roux (Koechlin)
L’allée est droite et longue, (Rostand)
L’Amour a des charmes (Saint-Saëns)
L’aquarium est si bleuâtre (Chevereau)
L’araignée à moustaches (Kosma)
L’arbre qui boit du vin (Kosma)
L’art de compter avec exactitude (Gounod)
L’aube naît, et ta porte est close ! * Hugo
L’aurore s’allume * Hugo
L’automne a passé, l’hiver est venu (Bordes)
L’autre jour, sous l’ombrage (Massenet)
L’eau morte, certains soirs (Plante)
L’éléphant qui traîne les pieds (Favre)
L’ennui d’aller en visite (Milhaud)
L’espoir, il est vrai, nous soulage (Bourgault-Ducroudray)
L’été, lorsque le jour a fui (Alary-Britten)
L’hippopotame au large ventre (Bourgault-Ducoudray)
L’hiver a cessé : la lumière est tiède (Smallman)
L’hiver s’envole à tire d’aile (Pierné)
L’homme au sable a passé (Massé)
L’humble papillon de nuit (Saint-Saëns)
L’invention des Arts étant un droit (Moreau)
L’oiseau du Colorado (Kosma)
L’oiseleur Amour se promène (Paladilhe)
L’ombre descend de leurs rameaux (Massenet)
L’ombre est douce et mon maître dort (Ravel)
Là bas, dans les monts neigeux (Séverac)
La belle au bois, qu’a réveillée (Bréville)
La bergère a laissé choir (Séverac)
La Bohémienne la main m’a pris (Milhaud)
La bonne neige le ciel noir (Poulenc)
La brise est douce (Delibes)
La caravane humaine au Sahara du monde (Bruneau) Gautier
La caravane humaine au Sahara du monde* Gautier
La cigale ayant chanté* La Fontaine
La corbeille de porcelaine contient (Honegger)
La crête des bois prend des tons de rouille (Fourdrain)
La croisée est ouverte, il pleut (Roussel)
La dame pavot nouvelle épousée (Kosma)
La femme, l’enfant, la soupe (Milhaud)
La flotte des heureux cygnes (Plante)
La forêt semble tout en fête (Massenet)
La gentille alouette (Delage)
La gouénouille améouicaine (Satie)
La grenouille aux souliers percés (Kosma)
La grenouille chante au bord de l’étang (Mazelier)
La légère fleur Tremble sur sa tige (Viardot)
La grenouille (Satie)
La lune blanche Luit dans les bois-1* Verlaine
La lune blanche Luit dans les bois-2* Verlaine
La lune dans les cieux, promenant ses clartés (Viardot)
La lune de ses mains distraites * Verlaine
La lune est rouge au brumeux horizon*
La marguerite a fermé sa corolle (Bizet)
La mer énorme se soulève (Widor)
La Mer est infinie (Fauré)
La mer est plus belle (Debussy)
La musique au jardin loin de la musicienne (Bréville)
La nuit a des douceurs de femme (Debussy)
La nuit brune de juin s’étend sur les taillis (Hervé)
La nuit le froid la solitude (Poulenc)
La Nuit, sur le grand mystère (Fauré)
La Paix, au milieu des moissons (Koechlin)
La pauvre fleur disait au papillon* Hugo
La perte d’un époux (Aboulker)
La petite couleuvre bleue (Widor)
La petite fille sage (Poulenc)
La plaine un jour disait à la montagne oisive (Bruneau)
La pluie fine a mouillé toutes chose (Dupré)
La pluie, la pluie aux doigts verts (Chausson)
La plus délicate des roses (Bruneau)
La porte que quelqu’un a ouverte (Kosma)
La poule noire dans le potager (Auric)
La primevère mourante (Viardot)
La queue de boeuf n’est pas un mets (Bernstein)
La raison du plus fort* La Fontaine
La rose à voix de soprano (Kosma)
La rose est l’honneur d’un pourpris (Emmanuel)
La rosée arrondie en perles (Paladhile)
La Saltimbanque aux yeux pleins de douceur (Auric)
La source tombait du rocher (Lacombe)
La terre dort au ciel pur (Massenet)
La terre est froide et le ciel sombre (Offenbach)
La tête à la taille pareille (Français)
La tombe dit à la rose * Hugo
Laissons le lit et le sommeil * Passerat
Lançant dans l’air son doux rappel (Massenet)
Larmes aux fleurs suspendues (Fauré)
Las ! Colombine a fermé le volet (Debussy)
Le beau matin vient de luire (Massenet)
Le bosquet de Vertumne est délaissé… (Hüe)
Le brouillard a tout mis (Chevereau)
Le chapelier s’étonne de constater (Satie)
Le chat qui ne ressemble à rien (Kosma)
Le Chêne un jour dit au Roseau * La Fontaine
Le ciel d’hiver, si doux, si triste* (Widor)
Le ciel est bleu, tout s’éveille (Godard)
Le ciel est, par-dessus le toit* Verlaine
Le ciel indistinct Est vaguement teint (Vidal)
Le cimetière est un jardin (Mazelier)
Le couchant est si beau* Régnier
Le crabe sort sur ses pointes* Cocteau
Le crabe sort sur ses pointes (Honegger)
Le crabe sort sur ses pointes (Parys)
Le crabe sort sur ses pointes (Satie)
Le domino, jeu des ménages (Auric)
Le doux rêve que tu nias (Schmitt)
Le falot sur le mât luisant (Hervé)
Le flot, miroir mouvant des cieux (Ropartz)
Le grand bateau s’en est allé sur la mer (Levadé)
Le jour renaît (Bizet)
Le jour s’annonce à l’Orient (Chabrier)
Le Lion dans sa tête avait une entreprise (Bruneau) Fable
Le lion, terreur des forêts* La Fontaine
Le lion, terreur des forêts (Schmitt)
Le long d’un clair ruisseau (Bonneau)
Le long des blés que la brise (Debussy)
Le long du quai, les grands vaisseaux* Sully-Prudhomme
Le matin compte ses oiseaux (Chevereau)
Le médecin Tant-Pis allait voir un malade (Bruneau) Fable
Le navire Vire (Millet)
Le nuage pourpre qui glisse (Vidal)
Le Papillon s’est envolé (Bizet-Paladilhe)
Le pêcheur vidant ses filets (Hahn)
Le petit garçon malade (Absil)
Le petit garçon malade (Poulenc)
Le pêcheur vidant ses filets (Koechlin)
Le petit pèr’ Combes s’en va chez le docteur (Satie)
Le poisson fait: Hip! L’oiseau fait (Milhaud)
Le poisson sans souci (Kosma)
Le Pot de fer proposa (Aboulker)
Le pré est vénéneux mais joli en automne (Rivier)
Le printemps a jeté sa lyre (Massenet)
Le printemps chasse les hivers (Gounod)
Le Printemps fleuri vient de naître (Clérice)
Le printemps rassemble au verger (Rhené-Baton)
Le printemps vient de renaître (Massé)
Le pur soleil qui remise (Milhaud)
Le roi vieilli, s’accoude au balcon du palais (Bizet)
Le rossignol A pris son vol (Saint-Saëns)
Le sang subtil des fleurs a frémi (Leroux)
Le silence uni de l’hiver (Hindemith)
Le soir descend sur la colline (Saint-Saëns)
Le soir étend ses voiles (Fourdrain)
Le soir quand le soleil… (Saint-Saëns+Dufresne)
Le soir ramène le silence* (Gounod)
Le Soleil brûlant se lève, et lance (Saint-Saëns)
Le soleil est droit sur la sente (Chabrier)
Le soleil est tombé parmi les arbres roses (Puget)
Le soleil hume la rosée (Rostand)
Le soleil, sur le sable (Rostand)
Le sommeil est en voyage (Poulenc)
Le son du cor s’afflige vers les bois * Verlaine
Le tas des ronces se hérisse (Rostand)
Le temps a laissé son manteau* Ch. D’Orléans
Le temps a laissé son manteau (Godard)
Le temps a laissé son manteau (Koechlin)
Le temps a laissé son manteau (Rostand)
Le temps a laissé son manteau (Séverac)
Le temps des lilas et le temps des roses (Chausson)
Le trésor du verger et le jardin en fête (Poulenc)
Le vase où meurt cette verveine* Sully-Prudhomme
Le vert colibri, le roi des collines (Chausson)
Le vieux chameau du zoo (Rosenthal)
Le vif œil dont tu regardes (Milhaud)
Le voici venu, le mois des vendanges (Saint-Saëns)
Le vorace brochet (Absil)
Le zéphir à la douce haleine (Debussy)
Les amoureux fervents et les savants (Diepenbrock)
Les anges les anges dans le ciel (Poulenc)
Les chemins qui vont à la mer (Poulenc)
Les cheveux gris, quand jeunesse les porte (Parys)
Les cieux bleus s’ouvrent infinis (Vidal)
Les cieux resplendissants d’Étoiles (Hahn)
Les cloches tintent dans l’air triste (Massenet)
Les clochettes des muguets (Hüe)
Les cris des chiens, les voix du cor (Koechlin)
Les cygnes blancs vont et viennent (Plante)
Les cygnes dans le soir ont soudain déplié (Plante)
Les donneurs de sérénades* Verlaine
Les épis ont donné la moisson attendue (Lacombe)
Les épis sont à Cérès (Poulenc-Schmitt)
Les feuilles s’ouvraient sur le bord des branches (Debussy)
Les feuilles s’ouvraient sur le bord des branches (Smallman)
Les flamants roses dorment (Absil)
Les flamboyantes Pierreries (Koechlin)
Les Fleurs d’azur de pourpre et d’or (Saint-Saëns)
Les fleurs et les arbres (Saint-Saëns)
Les follets valsent sur les eaux (Lecocq)
Les Fourmis sont en grand émoi (Rollinat)
Les genêts ont fleuri le sable (Rostand)
Les gros dindons, à travers champs (Chabrier)
Les lys sont bien charmants (Viardot)
Les Malaguenas et les Fandangos (Holmès)
Les moments me sont chers (Viardot)
Les nuages suivent les chemins du ciel (Thomé)
Les nuages vont vite, vite (Widor)
Les papillons couleur de neige * Gautier
Les pâquerettes trop simplettes (Auric)
Les petits ânes des Champs-Elysées (Auric)
Les poils de cette chèvre (Poulenc)
Les prés sont tout blancs de rosée (Godard)
Les rameaux dans l’azur limpide (Massenet)
Les roses étaient toutes rouges * Verlaine
Les roses ont ce soir pleuré dans le jardin (Busser)
Les roses que tu m’as données (Delage)
Les routes au loin sont si blanches (Fourdrain)
Les sanglots longs * Verlaine
Les sanglots longs (Ollone)
Les seigneurs de la cour (Bizet)
Les soirs d’automne au bois des peurs (Loeffler)
Les soirs d’été si doux… (Massenet)
Les sorciers et les fées dansent… (Honegger)
Les vieilles de notre pays (Levadé)
Les vieilles mains d’argent… (Séverac)
Les voyez-vous passer sous le ciel (Massenet)
Levé de très bonne heure (Hahn)
Lève-toi, voici l’aurore (Viardot)
Lézard est mort (Favre)
Lève-toi! le printemps vient de naître (Bizet-Lebeau)
Libe Libe Libellule (Campo)
Lison guettait une fauvette (Berlioz)
Loin de moi, loin de moi ces lèvres (Chausson)
Lonlaire lonla, Voici la froidure (Chaminade)
Lorsque au soleil couchant (Debussy)
Lorsque la mort, posant son doigt blanc… (Widor)
Lorsque le ciel de saphir est de feu (Debussy)
Lorsque le mille-pattes eut mis son pantalon (Schmitt)
Lorsque mes yeux se ferment (Sauguet)
Lorsque on sera très pressé (Bernstein)
Lorsque s’éveille le Matin (Koechlin)
Lorsque vient le soir de la vie (Lekeu)
Lumière au salon et cuisine flambante (Hahn)
Lune, belle lune, lune d’Avril (Poulenc)
M
Ma belle amie est morte* Th.Gautier
Ma belle amie est morte (Offenbach)
Ma belle, le jour va paraître (Bizet)
Ma chambre a la forme d’une cage (Poulenc)
Ma colombe, ô ma tourterelle (Milhaud)
Ma gentille fauvette (Gounod)
Ma mère l’oie, ma mère l’oie (Absil)
Ma mie, à son toit fidèle (Saint-Saëns)
Ma pensée est un cygne harmonieux et sage (Fauré)
Ma poupée chérie ne veut pas dormir (Severac)
Ma soeur, le flot murmure (Bizet)
Ma soeur, voici le bras qui venge (Saint-Saëns)
Ma vie a son secret (Bizet)
Madame Eustache a dix-sept filles (Poulenc)
Mademoiselle Marie (Parys)
Mai ! Les arbres du verger (Saint-Saëns)
Mai, mai, mai (Massenet)
Maître corbeau, sur un arbre perché* La Fontaine
Marabout, vieux marabout (Absil)
Marchons devant nous (Massé)
Marie et moi, on s’aime bien (Coulomb)
Mélancolique mer que je ne connais pas (Bréville)
Mes amis les cygnes (Milhaud)
Mes pas ont suscité les prestiges enfuis (Hüe)
Mes sœurs ! dans cette nuit d’étoiles (Massenet)
Mes vers fuiraient, doux et frèles* Hugo
Midi ! tout l’azur vibre de lumière (Fourdrain)
Midi, Roi des étés (Rostand)
Mieux qu’une tour profane (Barber)
Mignonne souris blanche (Absil-Coulomb)
Mignonne voici l’Avril (Gounod-Massenet)*
Mignonne, sais-tu comment (Franck)
Mignonne, tu dors… Si je te réveille (Lekeu)
Mille fleurs aux calices d’or (Massenet)
Minuit ! le flot murmure et le ciel étincelle (Bizet)
Minuit résonne au beffroi sombre (Smallman)
Moi je suis le capitaine d’un joli petit bateau (Hahn)
Mollement accoudée (Poulenc)
Mon âme a son secret* Arvers
Mon amie, il faut que je parte (Barber)
Mon bien-aimé, dans mes douleurs (Bizet)
Mon cadavre est doux comme un gant (Poulenc)
Mon cœur est comme un arbre en fleurs (Hüe)
Mon coeur, lassé de tout, même de l’espérance* (Gounod)
Mon cœur, lève-toi ! Déjà l’alouette (Chausson)
Mon petit âne est de poil gris (Gaubert)
Monte, écureuil, monte au grand chêne (Saint-Saëns)
Morceau pour piston seul (Poulenc)
Mortellement atteint d’une flèche* La Fontaine
Murmure autour de ma nacelle* Lamartine
N
N’allez pas au bois d’Ormonde (Ravel)
Nature souriante et douce (Saint-Saëns)
Ne forçons point notre talent (Bruneau) Fable
Ne jamais la voir ni l’entendre (Enescu)
Ne vous balancez pas si fort (Parys)
Nénuphars blancs, ô fleurs des eaux rêveuses (Dubois)
Nicolette, à la vesprée (Ravel)
Nocturne jardin tout empli de silence (Fauré)
Noire, mais noire à rendre noire (Coulomb)
Notre amour est chose légère (Boëllmann-Fauré)
Notre amour est réglé par les calmes étoiles (Poulenc)
Notre Dame des petits enfants (Favre)
Nous bénissons la douce Nuit (Chausson)
Nous bénissons la douce Nuit (Hahn)
Nous bénissons la douce Nuit (Koechlin)
Nous bénissons la douce Nuit (Rostand)
Nous marchions sous la fine pluie (Chaminade)
Nous sommes les fauvettes (Bret)
Nous sommes les Ingénues (Loeffler)
Nous venions de voir le taureau* Musset
Nous voguions sur le lac dormant (Fontenailles)
Novembre apparaît (Godard)
Nuit d’étoiles, sous tes voiles* (Debussy)
Nuit d’étoiles, sous tes voiles (Smallman)
Novembre approche, et c’est le mois (Ollone)
Nuit resplendissante et silencieuse (Gounod)
O
Ô bienheureux mille fois (Massé)
O bon printemps, printemps fidèle (Massenet)
Ô Cigale, née avec les beaux jours (Chausson)
O colombelle, oiseau fidèle (Salvayre)
Ô cygne blanc (Plante)
O Déesse, ô nuit, pardonne aux méchants (Chausson)
Ô, doux printemps d’autrefois (Ives-Massenet)
Ô floraison divine du Lilas (Debussy)
Ô fraîche Nuit, Nuit transparente (Franck)
O glycine, pâle glycine (Paladilhe)
Ô la biche : quel bel intérieur (Durey)
Ô la biche : quel bel intérieur (Hindemith)
O ma douce, je t’apporte (Rhené-Baton)
Ô mélodie de la sève (Hindemith)
O Nuit ! que j’aime ton mystère (Saint-Saëns)
Ô premier rossignol qui viens (Hahn)
Ô rives du Jourdain (Massé)
O ruisseau, ta voix est câline (Massenet)
Ô Versailles, par cette après-midi fanée (Hüe)
Ô vieux Moulin désert que l’herbe ronge (Fourdrain)
Ô Zéphirs dont l’aile légère (Pierné)
OCTOBRE : le dernier soleil dore (Rhené-Baton)
Oh! Combien j’aime le verger (Massenet)
Oh ! d’où viens-tu beau ramier qui voyage (David)
Oh! ne murmurez pas son nom! (Duparc)
Oh ! quand la mort, que rien ne saurait apaiser (Debussy)
Oh ! ne murmurez pas son nom ! (Smallman)
Oh ! Si les fleurs avaient des yeux (Massenet)
Ohé ! les gars, le matin chante (Fourdrain)
Oiseau des bois, petit farouche (Massenet)
On conte qu’un serpent voisin d’un horloger (Bruneau) Fable
On ne devrait faire aux enfants (Massenet)
On ne mène pas la vache (Sauguet)
On voit dans BUFFON dans CUVIER (Delibes)
Orphée avec son luth faisait courber (Bordes)
Où butine l’abeille je butine (Honegger)
Où donc allez-vous, Madame (Massenet)
Où le coq a-t-il la plume? (Absil)
Où t’envoles-tu, si frêle (Sains-Saëns)
Oui ! c’était bien la fée des songes (Chevereau)
Oui, nous sommes encor les hommes (Berlioz)
Ouvre vite, enfant qui reposes (Bizet)
Ouvrez vos tendres yeux (Massenet)
P
Pâle étoile du soir* Musset
Pâle fleur, timide pervenche (Jacob)
Pâquerette gentille (Gounod)
Par delà la mer d’azur (Saint-Saëns)
Papillon, tu es inhumain (Auric)
Papillons, ô papillons, Restez au ras des sillons (Jaëll)
Par la grande fenêtre ouverte (Hüe)
Par la plus étoilée et tranquille (di Vito-Delvaux)
Par les jardins et par les champs (Rhené-Baton)
Par les portes d’Orkenise (Poulenc)
Par les soirs calmes où s’endort (Vidal)
Par un beau matin,Pimpante et ravie (Massenet)
Par-dessus l’horizon aux collines brunies (Lacombe)
Pareils à des oiseaux que leur aile meurtrie (Massenet)
Parfois, pendant les longues heures (Saint-Saëns)
Partir, c’est mourir un peu (Tosti)
Partis d’une ménagerie (Milhaud)
Partons en barque sur la mer* (Widor)
Partout la mer unique étreint l’horizon nu (Delage)
Pas la plus légère brise (Godard)
Pauvre fleur que dans l’allée (Offenbach)
Pauvre gazelle prisonnière (Favre)
Pauvres voyageurs las qui vont cherchant fortune (Jaëll)
Pendant que je médite agitant les pensées (Bréville)
Pendant que je médite agitant les pensées (Hahn)
Pépita reine de Venise (Poulenc)
Perrette sur sa tête ayant un pot au lait* La Fontaine
Petit cheval, qui m’es si cher (Séverac)
Petit ruisseau qui cours à travers la prairie (Gounod)
Petite fourmi sérieuse (Gounod)
Petite Marguerite (Bizet)
Petite poupée en bonnet de dentelle (Planel)
Plantez un romarin (Sacre)
Pleurez, la petite Ilse est morte (Bréville)
Pleurons nos chagrins, chacun le nôtre (Fauré)
Pleurons nos chagrins, chacun le nôtre (Jaëll)
Pour chanter le retour Du jour (Berlioz)
Pour ne poser qu’un doigt dessus (Sauguet)
Pour savoir à quel point je t’aime (Leroux)
Pour veiner de son front la pâleur délicate (Paladilhe)
Pourquoi bondissez-vous sur la plage (Saint-Saëns)
Pourquoi donc ne dis-tu plus rien ? (Massenet)
Pourquoi rester seulette (Saint-Saëns)
Pourquoi se moquer de l’écureuil (Migot)
Pourquoi suis-je si seul, mon chat (Coulomb)
Pourquoi tomber déjà, feuille jaune et flétrie ? (Godard)
Pourquoi, se plaignait la carafe (Poulenc)
Prenez, bergers, vos musettes (Massé)
Près de l’étang, sur la prêle (Saint-Saëns)
Près de la digue digue daine (Rosenthal)
Près de son nid jeune fauvette (Gounod)
Près de toi garde moi toute (Saint-Saëns)
Près du pêcheur qui ruisselle (Saint-Saëns)
Princesse naïve et tendre (Vidal)
Profitons bien des jours d’automne (Massenet)
Puces, amis, amantes même (Poulenc)
Puisqu’ici-bas toute âme* Hugo
Puisque mai tout en fleurs (Fauré)
Puisque tout passe (Barber)
Puisque tout passe (Hindemith)
Q
Qu’elle était mutine (Chaminade)
Qu’il est doux d’éveiller… (Massenet)
Qu’il est reposant et coquet (Symiane)
Qu’importe que l’hiver éteigne les clartés (Massenet)
Quand j’eus reçu l’argent (Schmitt)
Quand je chemine, le soir (Hahn)
Quand je descends les monts (Salvayre)
Quand je viendrai m’asseoir (Bréville)
Quand l’amie est là qui nous laisse (Widor)
Quand je viendrai m’asseoir (Gaubert)
Quand je viendrai m’asseoir (Hahn)
Quand l’aube va paraître (Saint-Saëns)
Quand l’aubépine argente la charmille (Bret)
Quand l’automne en fuyant (Ropartz)
Quand le ciel et mon heure (Poulenc)
Quand le soir est venu (Saint-Saëns)
Quand le son du cor s’endort (Honegger)
Quand les blonds épis mûrs (Massenet)
Quand les gens (Poulenc)
Quand mon âme, bercée (Saint-Saëns)
Quand papa trouve un hérisson (Absil)
Quand papa trouve un hérisson (Poulenc)
Quand reviendra l’automne (Bréville)
Quand reviendra l’automne (Gaubert)
Quand reviendra l’automne (Hahn)
Quand ta voix céleste prélude (Gounod)
Quand tu viendras; mon bien aimé (Rhené-Baton)
Quand viendra la saison nouvelle* Gautier
Quand, flânant, rêvant, errant (Ibert)
Quat’ et trois sept et trois dix (Rosenthal)
Que cherches tu le long des saules (Fourdrain)
Que j’aime à vous voir, belles fleurs (Satie)
Que j’aime cette heure rêveuse (Berlioz)
Que j’aime voir les hirondelles (Massé)
Que lentement passent les heures, (Sacre)
Que les premiers jours de septembre (Massenet)
Que me veux-tu, chère fleurette* Musset
Qui donc es-tu, forme légère (Massenet)
Qui es-tu, la vieille qui crains le soleil ? (Absil)
Qui es-tu, inconnu ? (Poulenc)
R
Ramure aux rumeurs amollies (Fauré)
Rapide comme un rêve (Paladilhe)
Restons encor, Mignonne ! (Pierné)
Reviens, reviens, ma bien-aimée * Gautier
Rien ne sert de courir* La Fontaine
Rien ne sert de courir, a dit l’bon La Fontaine (Bruneau) Fable
Rose d’amour, nouvelle éclose (Bizet)
Roses de juin, vous les plus belles (N.Boulanger)
Roses en bracelet autour du tronc de l’arbre (Bréville)
Roses en bracelet autour du tronc de l’arbre (Hahn)
Roses en bracelet autour du tronc de l’arbre (Gaubert)
Rossignol mon mignon (Rivier-Roussel)
S
S’asseoir tous deux* Sully-Prudhomme
S’asseoir tous deux (Smallman)
S’il est un charmant gazon* Hugo
Sais-tu qui je suis ? (Paladilhe)
Salut ! bois couronnés* Lamartine
Salut printemps, jeune saison (Debussy)
Salut, ô gai printemps (Saint-Saëns)
Savez-vous, ô fleur de mon âme (Godard)
Saviez-vous que la pâquerette (Absil)
Scaramouche et Pulcinella (Debussy)
Se penchant vers les dahlias (Loeffler)
Sentiers où l’herbe se balance (Fauré)
Seul dans la nuit et trop loin de tes yeux (Widor)
Seule en ta sombre tour (Saint-Saëns)
Si j’étais jardinier des cieux (Chaminade)
Si je ne vois plus l’aube éclore (Paladilhe)
Si l’enfant sommeille* (Bizet)
Si tes pas t’ont conduit* Régnier
Si vous aimez vous saurez tout comprendre (Bizet)
Si vous croyez que je vais dire (Offenbach)
Si vous n’avez rien à me dire * Hugo
Simule L’ombre fleurie… (Poulenc)
Socrate un jour faisant bâtir (Schmitt)
Sœur des Sœurs tisseuses de violettes (Fauré)
Sœur des Sœurs tisseuses de violettes (Fauré)
Sois le bienvenu, rouge Automne (Hahn)
Sois-moi fidèle, ô pauvre habit que j’aime ! (Gounod)
Soleil de proie prisonnier de ma tête (Poulenc)
Sombres et fiers sapins (Saint-Saëns)
Songes-tu parfois, bien-aimée (Godard)
Sonnez, grelots ! résonne orchestre (Godard)
Soulève ta paupière close * Th.Gautier
Source limpide et murmurante * Lamartine
Source limpide et murmurante (Godard) Lamartine
Sous la douceur voilée (Hervé)
Sous la protection humble des violettes (Rhené-Baton)
Sous le brouillard léger que soulève l’aurore (Massenet)
Sous le flot qui déferle (Bizet)
Sous le pont Mirabeau coule la Seine* Apollinaire
Sous les grands peupliers il est un banc de pierre (Gounod)
Sous les ifs noirs qui les abritent (Vierne)
Sous les tilleuls, La lune embaume (Coulomb)
Sous un pont de Paris, Il est une souris (Chevereau)
Souvent, pour s’amuser (Chausson)
Souviens-toi ! C’était un matin d’automne (Ollone)
Sur l’eau bleue et profonde * Th.Gautier
Sur l’eau bleue et profonde (Bruneau) Th.Gautier
Sur l’eau bleue et profonde (Fauré) Th.Gautier
Sur la branche d’un arbre était en sentinelle (Françaix)
Sur la bruyère arrosée (Paladilhe)
Sur la bruyère arrosée (Paladilhe)
Sur la colline ensoleillée (Fourdrain)
Sur la mer les crépuscules tombent (Debussy)
Sur la mer qui brame (Jaëll)
Sur la pente fatale, le voyageur profite (Poulenc)
Sur la plaine sans fin, dans la brise (Saint-Saëns)
Sur le balcon où tu te penches* Gautier
Sur le balcon où tu te penches (Bruneau)
Sur le coteau, là-bas où sont les tombes (Falla)
Sur le flot des rêves (Gounod)
Sur le sable d’or, beaux êtres humains (Chausson)
Sur les fils de la pluie (Poulenc)
Sur les flots de la vie (Massenet)
Sur les grands bois noyés de brume (Delibes)
Sur les rosiers pendant l’hiver (Godard)
Sur les routes de l’infini (Massenet)
Sur les sommets lointains obscurcis (Godard)
Sur ton sein pâle mon coeur dort (Hahn)*
Sur un lys pâle mon coeur dort (Duparc)
T
Ta paille azur de lavande (Milhaud)
Tandis qu’à leurs oeuvres perverses* Gautier
Tant de tristesses plénières (Poulenc)
Tant que l’enfant me préféra (Loeffler)
Tavouk Gueunksis, poitrine de poule (Bernstein)
Te voilà, rire du Printemps (Hahn)
Técla notre âge d’or (Poulenc)
Te voilà, rire du Printemps (Koechlin)
Te voilà, rire du Printemps (Rostand)
Tels les yeux bleus sous les violettes (Hüe)
Terre irréprochablement cultivée (Poulenc)
Tes yeux malicieux (Chaminade)
Tes yeux sont doux comme ceux d’une fille (Ravel)
Thérésine, Thérésine (Lacombe)
Timbres oubliés, Timbres morts perdus (Loeffler)
Toi qui peux monter solitaire (Vierne)
Toi qui prends en pitié le deuil de la Nature (Bréville)
Toi vers qui conduit tous les chemins (Absil)
Ton âme est un lac d’amour (Hahn/Saint-Saëns)
Ton père a le sort le plus beau (Lacombe)
Ton sourire infini m’est cher (Vierne)
Toujours, n’importe le titre (Milhaud)
Toujours, quand l’étoile au nuage meurt (Hahn)
Tourne, tourne, mon moulin ! (Pierné)
Tournez, tournez, bons chevaux de bois (Debussy)
Tous deux vers la rive lointaine (Bizet)
Tous les jours, écartant les roseaux* Gautier
Tout en bas du talus (Maréchal)
Tout est ravi quand vient le Jour (Hahn)
Tout est ravi quand vient le Jour (Rostand)
Tout pique ici : les graminées (Coulomb)
Tout près du lac filtre une source (Bruneau)
Tout revit, ma bien aimée (Bizet)
Toute pure comme le ciel (Honegger)
Toutes les fleurs de mon jardin (Ravel)
Toutes les fleurs, certes, je les adore (Chabrier)
Toutes les roses du passé (Esclavy)
Travaillez, prenez de la peine* La Fontaine
Trois beaux oiseaux du paradis (Ravel)
Trois fois le chat miaula (Schmitt)
Tu n’as pas surpris mon secret (Sacre)
Tu peux m’oublier dans la joie (Hahn)
Tu reparais, ô beau printemps (Godard)
Tu t’acharnes sur la beauté (Poulenc)
Tu vas, cruel navire (Gounod)
U
Un bûch’ron ainsi qu’un’ bûch’ronne (Lacome)
Un Chat, nommé Rodilardus (Schmitt)
Un cygne avance sur l’eau (Barber)
Un cygne avance sur l’eau (Durey)
Un cygne avance sur l’eau (Hindemith)
Un dauphin sortit de la mer (Coulomb)
Un enfant court (Ravel)
Un éventail qui fut l’oiselle (Auric)
Un Fanfaron amateur de la chasse (Bruneau) Fable
Un grand sommeil noir* Verlaine
Un grillon fait un signal (Dutilleux)
Un homme chérissait (Aboulker)
Un jour d’un air aimable (Bruneau)
Un jour dame Cigale, couchée sur son sopha (Bruneau)
Un jour de printemps (Bizet)
Un jour maître Corbeau sur und arbre perché (Bruneau)
Un jour un Coq détourna* La Fontaine
Un jupon serré sur les hanches * Gautier
Un Lièvre en son gîte songeait (Aboulker)
Un Loup disait que l’on l’avait volé (Bruneau) Fable
Un Loup n’avait que les os et la peau (Aboulker)
Un meunier mourant, las ! en sa cabane (Lacome)
Un oiseau s’envole (Poulenc)
Un oiselet sautille et chante (Massenet)
Un paon muait : Un geai prit son plumage (Bruneau) Fable
Un pauvre Bûcheron, tout couvert de ramée (Rey)
Un petit pas, deux petits pas (Milhaud)
Un petit roseau m’a suffi (Pillois)
Un poisson rouge aimait d’amour… (Garcia-Mansilla)
Un regard caressant, une bouche rieuse (Saint-Saëns)
Un renard bon compère (Bruneau)
Un Savetier chantait du matin jusqu’au soir * La Fontaine
Un souffle d’ombre éteint les roses (Ibert)
Un taxi s’arrête (Kosma)
Un vieux renard guettait un loir (Coulomb)
Un vieux renard, mais des plus fins La Fontaine (Bruneau)
Un visage à la fin du jour (Poulenc)
Un, deux, trois, Il y avait sur le toit (Absil)
Une aube affaiblie (Séverac)
Une aube affaiblie Verse par les champs* Verlaine
Une charmante rose qu’animait doux zéphir (Bizet)
Une Chauve-Souris donna tête baissée (Lecocq)
Une cruelle abeille piqua une fois Erôs (Roussel)
Une étoile au feu du soir (Saint-Saëns)
Une fois il était Un p’tit prince effroyable (Lacome)
Une fois, terrassé par un puissant breuvage* Coppée
Une fourmi de dix-huit mètres (Kosma)
Une grâce étrange et navrante (Bréville)
Une grenouille vit un bœuf* La Fontaine
Une jeune Souris, de peu d’expérience (Laurin)
Une lice étant sur son terme (Schmitt)
Une marguerite à la bouche (Milhaud)
Une petite pomme un jour d’été (Auric)
Une puce dans sa voiture (Poulenc)
Une puce gentille (Berlioz)
Une rose aimait un marin (Coulomb)
Une veuve avait deux filles (Lacome)
Une vierge aux doux yeux (Offenbach)
Use ton coeur (Poulenc)
V
Venez amis la campagne est si belle (Bret)
Venez jusqu’à ces sables d’or (Honegger)
Venez, ô mes compagnes (Bret)
Verdure aux bois, boutons aux tiges (Massé)
Vêtus de blanc, dans l’azur clair (Satie)
Veux-tu qu’au beau pays des rêves (Fauré)
Vicieux et voleur (di Vito-Delvaux)
Viens ! enfant, la terre s’éveille, (Gounod)
Viens ! Une flûte invisible* Hugo
Viens à moi ! Le ciel joyeux se dore (Bizet)
Viens écouter ses chants (Berlioz)
Viens sur l’Alpe au front neigeux (Fourdrain)
Viens, cherchons cette ombre propice* Lamartine
Viens, la voile mutine (Massenet)
Viens, mon beau chat…* Baudelaire
Vogue, vogue la galère (Saint-Saëns)
Voici ce que chante un vieux chant (Jaëll)
Voici des fruits, des fleurs* Verlaine
Voici l’abeille qui butine (Bonis)
Voici l’heure adorable où la nuit… (Godard)
Voici l’heure où le pré…* de Noilles
Voici la fine sauterelle (Poulenc)
Voici la saison, La saisons des roses (Rostand)
Voici les cors qui sonnent l’amour (Séverac)
Voici que le printemps… (Debussy)
Voici que les frais ombrages (Godard)
Voici venir le doux printemps (Massenet)
Voici venir les temps… * Baudelaire
Voici venir sur la pelouse (Viardot)
Voilà SIlvandre et Lycas et Myrtil (Auric)
Voilà Sylvandre et Lycas et Myrtil (Debussy)
Vois-tu venir sur le chemin la lente (Durey)
Vois, là-bas, sur les riants coteaux (Godard)
Voltigez les hirondelles (David)
Votre âme est un paysage choisi* Verlaine
Voulez-vous, sous la feuillée (Vidal)
Vous ai-je dit que grand papa (Coulomb)
Vous aurez beau faire et beau dire* Coppée
Vous désirez savoir de moi (Vierne)
Vous en souvenez, Marquise (Dupré)
Vous est-il arrivé parfois de vous asseoir (Jongen)
Vous êtes suspendus (Paladilhe)
Vous me demandez de me taire (Fauré)
Vous méprisez la nature (Bizet)
Vous y dansiez petite fille (Poulenc)
Voyageur ! Pourquoi marcher sans cesse (Godard)
Voyez comme à l’entrée (Emmanuel)
Voyez la Luciole (Viardot)

Z
Zéphyrs, compagnons du printemps (Saint-Saëns)
Zig et zig et zig, la mort en cadence (Saint-Saëns)